Chargement
Patientez
HAUT

KARACTÈRE HIP HOP ACTE 1 « RAW » ET « PETITES FORMES »

À partir de 7 ans

CIE KILAÏ ET CIE 6È DIMENSION

+ 1ÈRE PARTIE K-DANSE LAVAL

SAMEDI 21 OCTOBRE – 20H30

THÉÂTRE DE LAVAL

6€

Crédit photo : David Schaffer, Thimothée Lejolivet



Cie Sixième Dimension

Deux pièces complémentaires proposées en parallèle, portant sur le thème de la Femme à différents âges de la vie.

Aspect(s) de Femmes Durée : 15 min

Ce spectacle est une satire contemporaine de la vie des femmes. Une pièce pour 3 danseuses hip-hop qui questionne notre vision de la féminité. La chorégraphe, Séverine Bidaud évoque avec humour l’obsession de la perfection, qui habite les femmes d’aujourd’hui, pour souligner les contradictions d’une identité complexe. A l’intérieur d’elles-même, les émotions se bousculent, une voix leur est prêtée, elle symbolise leurs pensées, pour alimenter l’imaginaire des spectateurs et les faire voyager entre fantasmes et réalité. Dans un rythme effréné, l’image de la « working girl » tournée en dérision invite le spectateur à interroger ses propres évidences.

« Je me sens bien » Durée : 25 min

Dans notre société qui prône le culte de la beauté, la chorégraphe nous fait partager sa vision de la vieillesse et les défis à relever face à une société d’exclusion. Avec trois danseuses hip-hop, elle esquisse avec tendresse, nostalgie et humour, trois portraits de femmes, qui voient poindre les effets du temps qui passe. Alors que l’on croit que le corps ne parle plus lorsque l’on vieillit, les danseuses se débrident et expriment leur fantaisie, pour nous rappeler que la vieillesse n’est pas une pathologie.

Cie Kilaï

« Raw » Durée : 45 min

« Raw » Brut en anglais est un quator ou l’istantané occupe une place importante, un hommage à la spontanéité du moment présent à travers le freestyle et par soucis d’authenticité. C’est Hip Hop, c’est brut, ça sort comme ça sort. Un Spectacle interactif en tête à tête avec le public dessinant le portrait de 4 danseuses qui racontent leur monde, le game , sa violence, sa beauté ironique, dénuée d’utopie mais chargée d’espoir.  

« J’écris cette pièce comme pour rendre hommage à cette culture qui m’a tant offert, et tant appris. Je l’écris aussi en espérant partager plus que ce qu’elle laisse paraitre au tout public.En invitant le texte à se joindre à la danse, à lui répondre, ou parfois à fusionner, nous partageons avec le public nos histoires. Quatre cartes lui sont proposées, à chacune correspond le portrait d’une danseuse. Dans ces portraits, nous parlons à la fois de la violence et de la sororité du milieu hip hop, à la fois des codes qui fondent cette danse, et à la fois de la liberté qu’elle génère une fois ces codes assimilés, nous y parlons des fausses idées qui y circulent toujours trop présentes, des leçons et des pièges puis de nos espoirs pour les nouvelles générations. »  Sandrine Lescourant (Chorégraphe de la compagnie Kilaï)



Poster un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.